La police de Gatineau terrorise des citoyens qui respectent les lois



Il semble que The Canadian n’est pas le seul organisme médiatique à dénoncer les activités fascistes et illégales de la police provinciale de Gatineau et du Québec.

La police de Gatineau se sert de la pandémie actuelle pour agir en trou-de-cul. En plus, ses actions sont supportées par le maire red neck de Gatineau qui est tout aussi corrompu.

Ottawa Sun a maintenant documenté les activités suivantes qui violent la Charte canadienne des droits et libertés :

Les automobilistes ayant fait l’expérience de traverser les ponts affirment que la zone de distanciation sociale de sécurité n’est pas toujours respectée. La semaine dernière, un homme de la municipalité de Low, au Québec, a déclaré qu’il avait été écarté de sa propre résidence par un agent qui ne se trouvait qu’à quelques centimètres de sa fenêtre. L’agent a pris les papiers de son véhicule pour y faire une inspection.

John Savage, quant à lui, écrit que, jeudi, il conduisait en direction est sur le boulevard Taché avec son père, Bob, âgé de 83 ans qui fait partie des individus à haut risque des effets de la COVID-19. En effet, des centaines de personnes âgées ont été tuées par le virus à ce jour.

Monsieur Savage mentionne qu’ils n’avaient même pas l’intention d’utiliser le pont Chaudière lorsqu’ils ont été arrêtés près du coin de la rue Eddy par un officier. Il explique que l’agent s’est placé du côté passager de la voiture et que, malgré qu’il lui ait demandé de se placer de l’autre côté, il a insisté pour que l’octogénaire baisse sa fenêtre.

« Pourquoi a-t-il choisi de nous parler au travers de la fenêtre de mon père plutôt que par la mienne sachant que les personnes âgées sont plus à risque? » se demande-t-il.

« Aussi, étant donné que la police est en perpétuel contact avec les gens et ainsi plus à risque d’attraper et de propager le virus, pourquoi ne porte-t-elle pas de masque pour nous protéger ? »

Savage dit que l’incident l’a effrayé, car il a essayé de limiter les contacts de son père avec les autres pendant la pandémie. Il ajoute qu’il n’y avait aucune raison valable de se faire arrêter par le policier en premier lieu, car il ne se dirigeait même pas vers l’Ontario.

Ce journal a entendu d’autres résidents québécois qui se sentent, eux aussi, de plus en plus restreints par les nombreuses interdictions de voyager en Ontario, mais aussi à l’ouest du Québec lui-même.

Une femme a écrit à propos de proches qui ont vendu leur maison (avant la pandémie) à Gracefield, au Québec, à une centaine de kilomètres au nord de Gatineau, avec l’intention de louer un appartement à Aylmer. Lorsqu’ils ont pris la route afin d’aller visiter l’appartement en question, la police les a arrêtés en déclarant que leur déplacement n’était pas essentiel. Évidemment, ils sont inquiets à savoir où ils vont vivre lorsqu’ils devront avoir quitté leur maison.

Une autre lectrice, Brenda Parker, a écrit au sujet de sa mère de 87 ans qui vit seule à Low, au Québec, et qui compte sur ses enfants pour lui faire ses courses toutes les deux semaines. Sa fille rapporte qu’elle a traversé le pont Macdonald-Cartier sans être interceptée samedi matin, pour ensuite être arrêtée au retour avec sa voiture remplie de marchandises à environ 10 minutes de Low.

Au début, on lui a refusé le droit de passage. Parker a finalement persuadé l’officier de la laisser passer en lui disant qu’elle déposerait rapidement la marchandise chez sa mère, et ce, sans perdre une minute.

« C’est encore plus stressant pour ma mère, car si quelque chose venait qu’à lui arriver, nous ne pourrions pas la rejoindre » a écrit la résidente de Cumberland.

Pendant le week-end, nous entendons parler de restrictions encore plus importantes par le Pontiac, qui n’offre pas beaucoup de services de vente au détail et de santé vers des régions qui en offre, comme Gatineau.

On demande aux civils ordinaires de porter des masques, mais si l’on regarde les policiers, ceux-ci ne semblent pas croire que cela soit une nécessité… Les individus d’Ottawa peuvent conduire où bon leur semble, mais les allées et venues de ceux du Québec sont de plus en plus contrôlés, le tout, sous la menace d’amendes salées.

La COVID-19, en effet, nous étouffe à plus d’un égard.


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